Le Furieux : une autre histoire de Provence

Demandols, le Furieux est un roman librement inspiré de l’Histoire.

Dans la tourmente d’une époque charnière,
où passions et trahisons s’entrelacent,
des personnages attachants poursuivent un destin hors du commun.

Un hôte improbable protégé par ses ennemis, menacé autant que désiré, parcourt un pays en devenir. il s’éprend d’une jeune femme. mais comment aimer alors que sa liberté lui est enlevée ? comment survivre à la privation, l’éloignement, la trahison et l’humiliation.

un périple haletant entraîne le lecteur à la rencontre d’histoires méconnues.

tandis que les uns parcourent les mers et les océans, d’autres s’enfoncent en terres inconnues

… Quand la Provence débarque en Bretagne
ou s’aventure au fin fond de la Méditerranée,
l’Histoire oubliée reprend vie.

Embarquez pour l’aventure !

Encore un peu de patience, le roman se termine

… Enfin, le sentier s’ouvre sur une plaine. Un ruisseau se faufile à travers champs en direction de la rivière. Il a découpé des parcelles ; des semences, des vignes, des vergers, quadrillant le vallon au pied de l’imposant château. Posé sur un éperon rocheux, à flanc de colline, il est là, tel un vaisseau dans le ciel. Seul un marin comme Balthazard, peut avoir cette vision surprenante en ces lieux…  

« Bientôt les amarres sont larguées. La chiourme rame jusqu’à ce que la galère atteigne l’extrémité de la rade. Alors que Toulon s’éloigne, devenant un village, que les monts se font collines, que la mer inonde les yeux d’un bleu azur, les marins hissent les voiles. Soudain, le navire se cabre et craque, puis il prend de la vitesse. Les voiles se gonflent, les galettes s’envolent, la coque tape fort les vagues, déchirant la masse bleue d’une écume blanche qui s’estompe jusqu’à disparaitre, effaçant toute trace de passage. Adoptant un rythme de croisière, le vaisseau semble à présent effleurer les vagues, filant à tout allure, vers une destination inespérée : celle de tous les espoirs. » 

À l’automne, les arbres parés de couleurs chatoyantes, annoncent des températures moins clémentes. La rivière au sang chaud traverse alors des terres froides, parfois enneigées, souvent balayées par un vent d’est matinal annonçant de fraiches nouvelles venues des Alpes, relayé en journée par un souffle glaçant du Mistral. À présent désertées de toute vie, seule la Mort erre comme une âme en peine, courbant l’échine à quelques herbes affranchies. Les jours de brouillard, un voile de torpeur se répand dans la plaine, s’immisçant entre les bosquets, jouant à cache-cache avec un paysage de nature morte. Les montagnes drapées d’un bleu velouté s’élèvent au-dessus du manteau laiteux d’une lande sulfureuse.

contact@demandols.com  

Site réalisé par moi. PS : photos personnelles, réalisées sans trucage. Ici, il fait quasiment toujours beau !

Pour infos, je sillonne la région, le plus souvent en moto. 

La musique me guide, m’inspire. En l’écoutant, je projette des émotions. Bien souvent le mouvement s’avère inverse.

Dead Gods de Athena IV                 pour une traque dans les eaux bretonnes

Fallen Souls de Athena IV               pour la mort d’une belle personne 

Lotus de Jalan-Jalan                       pour une ile abandonnée ..

Her & the Sea de CLANN                pour le chant des Anges